Plus les gens communiquent avec les membres du Conseil, plus ces derniers connaîtront les préoccupations de votre communauté. Vous pouvez appeler, envoyer des lettres ou utiliser les médias sociaux. Déterminez qui pourrait prendre part à vos actions. Qui sont vos alliés et alliées possibles?
Facilitez l’intervention
- Fournissez à tous ceux qui souhaitent vous aider :
- Un exemple de message;
- Les coordonnées utiles : nom du maire et/ou du conseiller, de la conseillère, numéros de téléphone, adresse du compte Twitter, numéro du télécopieur, adresse courriel, adresse postale.
Appels téléphoniques
- Lorsque les conseillers, conseillères reçoivent 10 appels ou messages, ils, elles réagissent. Imaginez s’ils en recevaient 100!
- Si vous préférez ne pas parler directement à un conseiller, une conseillère, vous pouvez simplement laisser un message dans sa boîte vocale en dehors des heures de bureau. Dans un cas particulier, des Somaliennes qui parlaient peu l’anglais voulaient demander
Courriels et lettres
- Fournissez un exemple de lettre pour aider les gens à rédiger leur propre correspondance. Citez le problème, l’impact qu’il a sur la communauté et l’intervention que vous réclamez du conseiller, de la conseillère. Et demandez au conseiller, conseillère de donner suite à votre lettre.
- Évitez la lettre type. Il est préférable que chaque personne rédige son message dans ses propres mots.
- La lettre peut être brève et directe.
Une campagne sur Twitter
- Tous les membres du Conseil (maire et 23 conseillers) ont maintenant un compte Twitter. Suivez le maire et les conseillers sur Twitter pour voir les enjeux dont ils discutent. Répondez à leurs messages et écrivez vos propres messages pour exprimer vos préoccupations concernant les enjeux. Assurez vous d’utiliser leur pseudonyme sur Twitter (pseudonyme @ noms) si vous voulez qu’ils voient vos messages.
- Suivez les médias sur Twitter. Répondez ou retweetez ce qu’ils disent en utilisant le pseudonyme du maire et/ou du conseiller afin qu’ils voient les conversations et réalisent que la cause nécessite leur attention.